Voilà, c'est fait.
En surfant sur le net, j'ai observé - fait du hasard ? - que ce mercredi matin était classé en "période bleue" dans le calendrier de la SNCF. Vous savez bien, c'est la période où l'on bénéficie (encore) de petites réductions pour prendre le train. Une aubaine pour l'équipe de France qui pourra rentrer chez elle à moindres frais d'une compétition qu'elle a suivie ou plutôt subie à moindre effort.
Nos très (trop) chers bleus, se prenaient-ils donc pour des cheminots ? Allez savoir ... Nous avons eu toute la panoplie de ce que l'on reproche à notre entreprise nationale de transport : des retards aux départs, des arrivées pataudes, des correspondances plus qu'aléatoires, des coups de sifflets en veux-tu en voilà. Fallait - il dès lors tirer le signal d'alarme ? Que nenni ! Ils ont du se dire qu'après avoir été durement stoppés à l'orange lors du deuxième trajet, tout irait bien, il s'agissait - tout simplement bien sûr - de doubler le rapide italien, en espérant que la Roumanie ne gagne pas. Et là, pas de chance, un dernier voyage digne du crime de l'Orient Express : un démarrage brouillon, ça patine, quelques rappels, mais le mécano semble s'en moquer. A 9 minutes du départ, ils perdent le seul qui savait conduire vite. C'est ballot. Puis, problème d'adhérence d'un stoppeur glissant dans les 9 mètres et on perd un autre wagon (de queue celui-là ...). Ensuite, nos "cheminots en short" ont appliqué à la lettre la bataille du rail mais version camembert, à croire que les tirs à l'extérieur comptaient double.
La Suisse et l'Autriche, belles contrées aux paysages de montagnes russes, nous a permis d'avoir des hauts-le-coeur en voyant ces 11 bleus perdre matchs après matchs.
Ils n'ont même pas observé le service minimum comme lors de leur voyage en Allemagne il y a deux ans. Comme quoi, à ne pas vouloir (ou pouvoir) aller de l'avant, on a tendance, tôt ou tard, à s'arrêter et au train où allaient les choses depuis les phases de qualification, on pouvait se douter que le train de sénateur tricolore allait dérayer tôt ou tard. Ils y croyaient dur comme fer, mais n'ont touché aucun cuir. Palme tout de même au fair play de Thierry Henry qui a marqué deux buts, dont un pour les adversaires (il a du lire Coubertin pour les Nuls la veille).
Jetons par contre un voile de pudeur sur la réaction du sélectionneur. Je pensais qu'il allait faire un bilan critique de sa stratégie, du travail des joueurs, bref de son boulot. Peine perdue ! Il annonce sa demande en mariage auprès d'Estelle Denis qui présente en toute objectivité, et sans exclusive, 100 % foot, l'émission de M6 consacrée à l'Euro. A l'entendre parler sans cesse des bleus, comme si ce championnat ne concernait qu'une seule équipe, coachée par Monsieur, on peut dès lors croire que cette chère Estelle se préparait pour leur future nuit de noces en avalant toutes les couleuvres du sélectionneur national (formulées à la presse bien évidemment ...)
Alors, maintenant : place au vrai foot ! ! !
En surfant sur le net, j'ai observé - fait du hasard ? - que ce mercredi matin était classé en "période bleue" dans le calendrier de la SNCF. Vous savez bien, c'est la période où l'on bénéficie (encore) de petites réductions pour prendre le train. Une aubaine pour l'équipe de France qui pourra rentrer chez elle à moindres frais d'une compétition qu'elle a suivie ou plutôt subie à moindre effort.
Nos très (trop) chers bleus, se prenaient-ils donc pour des cheminots ? Allez savoir ... Nous avons eu toute la panoplie de ce que l'on reproche à notre entreprise nationale de transport : des retards aux départs, des arrivées pataudes, des correspondances plus qu'aléatoires, des coups de sifflets en veux-tu en voilà. Fallait - il dès lors tirer le signal d'alarme ? Que nenni ! Ils ont du se dire qu'après avoir été durement stoppés à l'orange lors du deuxième trajet, tout irait bien, il s'agissait - tout simplement bien sûr - de doubler le rapide italien, en espérant que la Roumanie ne gagne pas. Et là, pas de chance, un dernier voyage digne du crime de l'Orient Express : un démarrage brouillon, ça patine, quelques rappels, mais le mécano semble s'en moquer. A 9 minutes du départ, ils perdent le seul qui savait conduire vite. C'est ballot. Puis, problème d'adhérence d'un stoppeur glissant dans les 9 mètres et on perd un autre wagon (de queue celui-là ...). Ensuite, nos "cheminots en short" ont appliqué à la lettre la bataille du rail mais version camembert, à croire que les tirs à l'extérieur comptaient double.
La Suisse et l'Autriche, belles contrées aux paysages de montagnes russes, nous a permis d'avoir des hauts-le-coeur en voyant ces 11 bleus perdre matchs après matchs.
Ils n'ont même pas observé le service minimum comme lors de leur voyage en Allemagne il y a deux ans. Comme quoi, à ne pas vouloir (ou pouvoir) aller de l'avant, on a tendance, tôt ou tard, à s'arrêter et au train où allaient les choses depuis les phases de qualification, on pouvait se douter que le train de sénateur tricolore allait dérayer tôt ou tard. Ils y croyaient dur comme fer, mais n'ont touché aucun cuir. Palme tout de même au fair play de Thierry Henry qui a marqué deux buts, dont un pour les adversaires (il a du lire Coubertin pour les Nuls la veille).
Jetons par contre un voile de pudeur sur la réaction du sélectionneur. Je pensais qu'il allait faire un bilan critique de sa stratégie, du travail des joueurs, bref de son boulot. Peine perdue ! Il annonce sa demande en mariage auprès d'Estelle Denis qui présente en toute objectivité, et sans exclusive, 100 % foot, l'émission de M6 consacrée à l'Euro. A l'entendre parler sans cesse des bleus, comme si ce championnat ne concernait qu'une seule équipe, coachée par Monsieur, on peut dès lors croire que cette chère Estelle se préparait pour leur future nuit de noces en avalant toutes les couleuvres du sélectionneur national (formulées à la presse bien évidemment ...)
Alors, maintenant : place au vrai foot ! ! !
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