vendredi 27 juin 2008

United Against Racism

United against racism

Unis contre le racisme

Contra el racismo

Fußball gegen rassismus



Pas mal comme idée, non ?


T'es noir,t'es blanc, t'es jaune, t'es vert, qu'importe !
t'as la même envie
et le droit de jouer que moi,
trop cool !

Pour un peu, on y croirait, non ...

Mais si. Allez, le foot c'est un peu comme Babar,
c'est lisse, beau, gentil, limite fadasse.


Jusqu'à ...

jusqu'à ...

jusqu'à ...

... ce que ces put... d'enc... de Teutons commencent à gagner. Alors là, dans les commentaires, finies les réflexions concernant le "beau jeu", la "technique collective", le "moral", l'"envie de gagner". On, ou plutôt ILS, ne parlent que de "réalisme", d'"athlétisme" pour qualifier une équipe venue d'outre-Rhin.

On se croirait revenus à l'époque de la IIIe République ! Le retour du boche, du schleuh, du fritz, du frisé . . . Ils sont disciplinés, ordonnés, rigoureux, athlétiques. Bah voyons ! Pourquoi pas les comparer à la Wehrmacht et carrément dire "les Panzers sont en finale".

Lors de la précédente coupe du monde, des journalistes, qualifiant les équipes africaines de "naïves", avaient été traités, à juste titre selon moi, de racistes. Leur discours ayant des relents post-coloniaux. OK. Dire que l'Africain est généreux, sportif, mais naïf, c'est quasiment le traité de "bon nègre". La remarque à l'égard de ceux qui tenaient ces propos était justifiée.

Alors, égalité de traitement !

Cessons de prendre nos voisins allemands pour des soldats nazis, des types habitués au vert, et qui défilent en gueulant Jawohl sur les Champs-Elysées. Qu'ils gagnent un match de foot, et c'est quasiment un scandale, un vol, voire, une habitude. Qu'un type de la Mannschaft marque à la 90e et c'est un quasi Hold Up ... Que doit penser un type comme Wiltord alors ? Pour peu qu'ils gagnent dimanche soir, je m'attends presque à des comparaisons du type Guernica ... On peut hurler au racisme, et le pratiquer.

Je sais : Batiston, Schumacher ... d'accord, d'accord ...

Des exemples alors ? ? ?

Et pour ce pauvre Materazzi, on devrait dire quoi ? Imaginez que Ballack nous colle un coup de boule à Thuram ? J'vois déjà le tableau. Un attentat raciste, pas un coup de sang bien sûr. Ils ne se priveraient pas pour déverser leur fiel contre l'éternel ennemi allemand.

Tout comme considérer l'Italien comme champion du plongeon dans la surface tout en vénérant l'astuce d'un Thierry Henry se roulant par terre lorsqu'il se fait frôler le short dans les 9 mètres.

Lorsque Makele garde le ballon alors qu'un joueur adverse est à terre, on ne blâme pas l'anti-jeu.

Si Coupet garde un ballon 1/4 d'heure, on dit qu'il n'a pas tort de temporiser pour préserver le score.

Les Turques sont super pour le foot, on dit que s'ils gagnent, c'est un pied de nez à l'Europe, et au JT, on les traite d'Ayatollahs.


MONSTER BLOG INFORMATION :

Au soir du match Allemagne - Turquie, Turques et Allemands, frères d'un même territoire, étaient à Berlin, Cologne, etc. en train de boire des bières ensemble et trinquer à la victoire d'une équipe dont les joueurs sont ensemble en Bundesliga. Que la fête soit belle, que le sport triomphe et réunisse les peuples. Ils ont fait la fête ensemble. Même un jeune supporter turc a, en fin de soirée, aidé à régler la circulation au milieu des fans à Berlin, aux yeux souriants des policiers allemands. Policiers allemands qui n'ont rien eu à faire le soir du match. Alors, d'où vient l'exemple ? Aurions - nous fraterniser avec les Algériens par exemple dans la rue s'il y avait eu un France - Algérie ? Pas si sûr ... Moi, ça ne me gênerait pas, j'ai de bons amis originaires de là - bas et je jouais avec eux au foot à l'école primaire . . .




Alors, ça suffit : considérons les Allemands comme des joueurs à part entière, une équipe comme les autres.

Fallait juste le dire.

jeudi 26 juin 2008

OUF ! ! !

Ouf !

C'est passé ! ! !

Limite, mais c'est bon. La Manschaft est en finale.

Grâce à qui ?



J'ai enfin eu le flocage pour le maillot officiel de ce type. Pourquoi son maillot et pas un Ballack ou autre ? Parce qu'il est un joueur de mon équipe préférée avec le Brésil. Ensuite parce que c'est un attaquant. Et enfin parce qu'il a un nom à coucher dehors qui évoque bien nos amis d'Outre-Rhin. J'le porte actuellement au taf ce T Shirt, et j'dois avouer que remonter Jaurès pendant les soldes avec ça sur le dos, ça en jette.

@+

mercredi 18 juin 2008

Période bleue et service minimum

Voilà, c'est fait.

En surfant sur le net, j'ai observé - fait du hasard ? - que ce mercredi matin était classé en "période bleue" dans le calendrier de la SNCF. Vous savez bien, c'est la période où l'on bénéficie (encore) de petites réductions pour prendre le train. Une aubaine pour l'équipe de France qui pourra rentrer chez elle à moindres frais d'une compétition qu'elle a suivie ou plutôt subie à moindre effort.

Nos très (trop) chers bleus, se prenaient-ils donc pour des cheminots ? Allez savoir ... Nous avons eu toute la panoplie de ce que l'on reproche à notre entreprise nationale de transport : des retards aux départs, des arrivées pataudes, des correspondances plus qu'aléatoires, des coups de sifflets en veux-tu en voilà. Fallait - il dès lors tirer le signal d'alarme ? Que nenni ! Ils ont du se dire qu'après avoir été durement stoppés à l'orange lors du deuxième trajet, tout irait bien, il s'agissait - tout simplement bien sûr - de doubler le rapide italien, en espérant que la Roumanie ne gagne pas. Et là, pas de chance, un dernier voyage digne du crime de l'Orient Express : un démarrage brouillon, ça patine, quelques rappels, mais le mécano semble s'en moquer. A 9 minutes du départ, ils perdent le seul qui savait conduire vite. C'est ballot. Puis, problème d'adhérence d'un stoppeur glissant dans les 9 mètres et on perd un autre wagon (de queue celui-là ...). Ensuite, nos "cheminots en short" ont appliqué à la lettre la bataille du rail mais version camembert, à croire que les tirs à l'extérieur comptaient double.

La Suisse et l'Autriche, belles contrées aux paysages de montagnes russes, nous a permis d'avoir des hauts-le-coeur en voyant ces 11 bleus perdre matchs après matchs.

Ils n'ont même pas observé le service minimum comme lors de leur voyage en Allemagne il y a deux ans. Comme quoi, à ne pas vouloir (ou pouvoir) aller de l'avant, on a tendance, tôt ou tard, à s'arrêter et au train où allaient les choses depuis les phases de qualification, on pouvait se douter que le train de sénateur tricolore allait dérayer tôt ou tard. Ils y croyaient dur comme fer, mais n'ont touché aucun cuir. Palme tout de même au fair play de Thierry Henry qui a marqué deux buts, dont un pour les adversaires (il a du lire Coubertin pour les Nuls la veille).

Jetons par contre un voile de pudeur sur la réaction du sélectionneur. Je pensais qu'il allait faire un bilan critique de sa stratégie, du travail des joueurs, bref de son boulot. Peine perdue ! Il annonce sa demande en mariage auprès d'Estelle Denis qui présente en toute objectivité, et sans exclusive, 100 % foot, l'émission de M6 consacrée à l'Euro. A l'entendre parler sans cesse des bleus, comme si ce championnat ne concernait qu'une seule équipe, coachée par Monsieur, on peut dès lors croire que cette chère Estelle se préparait pour leur future nuit de noces en avalant toutes les couleuvres du sélectionneur national (formulées à la presse bien évidemment ...)

Alors, maintenant : place au vrai foot ! ! !




mardi 17 juin 2008

EURO 2008

Alors que tout le monde vibre en ce moment pour la France et les Pays Bas ... Moi , j'm'en tape ! ! !

Il suffit de battre l'Italie, ben voyons ... Ca a été tellement facile en 2006. N'est-ce pas M. Zidane ?

Foot fiction : si en 2006 Zidane n'est pas expulsé, que la France ait donc gagné, alors aux nombres de points en cas de nul ce soir, la France serait retenue et non l'Italie. Donc, si la France est éliminée en cas de nul, merci Zidane de les avoir planté il y a 2 ans ... CQFD.

Ce que je veux : que l'équipe qui produise le meilleur foot ball (attaque, création de jeu, technique, fair play, pas de prise de chou ...) gagne cet Euro.

En même temps, j'ai un 'tit faible pour les Pays Bas et l'Allemagne.

Fallait que je le dise.

Des fois, il faut savoir nager à contre courant.

@+

jeudi 5 juin 2008

Les avaleuses de mazout

CC 72000 :

Les CC 72000 sont une série de locomotives diesel-électriques construites à 92 exemplaires pour la SNCF par la société Alsthom. Elles sont progressivement radiées et il ne reste en 2007 qu'une trentaire d'exemplaires roulant. Une des principales raisons de leur retrait, outre leur âge, est la pollution générée par leurs moteurs diesel. Elles ont été commandées le 29 décembre 1965, et la première a été mise en service le 20 décembre1967 au dépôt de Rennes. Les 20 premières n'atteignaient que 140 km/h, la vitesse maxi des suivantes a été réhaussée à 160 km/h. 30 d'entre elles ont été remotorisées et renumérotées dans la tranche CC 72100. Les CC 72000 restantes sont au nombres de 26, 36 d'entre elles ont été radiées, dont 12 en 2005. Par ailleurs, les 72001 à 72020, plus lentes, ont été soit radiées soit affectées au Fret. Les CC 72000 sont aujourd'hui affectées à Nevers, au VFE (ex-GL), CIC (ex-TIR) et Fret. Les locomotives qui ont été affectées aux TER ne le sont plus TER Pays de la Loire reversées à CIC, et TER Rhône-Alpes radiées sauf la CC 72074, réaffectée à CIC.

Ce sont les locomotives diesel de ligne les plus puissantes jamais mises en service par la SNCF.

Les CC 72000 sont reconnaissable au bruit de leur moteur, qui donne la mesure de leur puissance (2650 kW). Les premières locomotives diesels de lignes françaises des années 60 ne permettent que de remplacer de façon économique la traction vapeur, la puissance fournie est bien plus basse, ce qui complique le service sur les lignes pas électrifiées qui voient passer des trains de passagers express de 850 tonnes et de marchandises de 1500, il y a aussi le problème du chauffage, suivant les cas, pour augmenter la température de la rame de 15° par rapport à l'extérieur, la vitesse commerciale descend parfois de 82 à 78 km/h, c'est pour satisfaire ces problèmes que la CC 72000 a été mise en service. Les CC 72000 roulaient parfois à 160 km/h en tête de trains rapides, prolongeant correctement les trains sur les lignes pas électrifiées, mais elles furent aussi utilisées pour des trains de plus grandes distances, comme Paris-Belfort, Paris-Bâle ou encore Paris-Clermont-Ferrand. La CC 72000 avait quand même des défauts, aux heures de pointes du vendredi soir et dimanche soir, où les trains sont géneralement plus lourds, il y avait un manque de puissance et il fallait la remplacer par deux BB 67000, qui ralentissaient les trains de 160 à 140 km/h. Le moteur fut alors remplacé sur une des locomotive par un SEMT Pielstick de type V12 PA 6, qui peut fournir 3 100 kW avec 1050 tr/mn, mais seul une locomotive est modifiée. En 1974, la construction des CC 72000 est stoppée à cause du choc pétrolier de 1973, les prix du kWh ont trop augmenté, passant de 4 centimes avant 73 à l'époque l'électricité en était à 12 à 20, puis 30 centimes. Depuis les dernières CC 72000 en fonction ne sont utilisées que sur le prolongement des lignes électrifiées sur pas électrifiées.


BB 67000 :

Les BB 67300 sont des locomotives diesel de la SNCF. Elles ont été commandées le 15 décembre 1965, et la première a été mise en service le 5 décembre 1967 au dépôt de Chambéry. Les dix dernières machines n'ont pas été livrées neuves, mais sont issues de la transformation de BB 67000.

A1A A1A 68500 :

Les A1AA1A 68000 sont des locomotives diesel de la SNCF. Elles ont été commandées le 7 juin 1961, et la première a été mise en service le 13 décembre 1963 au dépôt de Chalindrey. La série est aujourd'hui en cours de radiation.

BB 75000 :

Les BB 475000 sont des locomotives Diesel commandées en 2000 par la SNCF pour le fret afin de renouveler son parc vieillissant. Ce sont des locomotives de puissance intermédiaire (environ 1800 kW). Elles présentent une silhouette proche des BB 27000 mais sont en fait le fruit d’une collaboration entre Alstom et Siemens. Chacun ayant importé des éléments provenant de séries préexistantes : Rh 2016 pour Siemens et Prima pour Alstom. La commande porte sur 400 engins à livrer à partir de 2007 auquel s’ajoute une option sur 100 machines supplémentaires suivant la conjoncture. Le montant total de la commande est ainsi évalué à 1 milliard d’euros. La commande des BB 75000 par la SNCF est le résultat d’un long et laborieux projet de renouvellement des motrices thermiques du fret enclenché en 2000 soit un délai de sept ans entre l’annonce de commande de nouveau engin diesel Fret et la livraison des premières BB 75000.

Les raisons sont doubles pour la SNCF :
* Le parc diesel actuel devient très vieux (35 ans en 2005) et très onéreux en terme d’exploitation et de maintenance. Les dernières commandes de locomotives diesels datant de 1975 [2].
* L’évolution de la réglementation européenne sur les normes anti-pollution et les nuisances sonores imposent à la SNCF de renouveler son parc.

En combinant l’expérience de Siemens dans les locomotives diesel–électriques (et plus particulièrement des Rh 2016 livrées aux ÖBB, et la série des Prima, la BB 75000 bénéficie d’un bon retour d’expérience. En outre la proximité de conception des BB 75000 avec les Prima permet de faciliter leur maintenance mécanique. Le contrat d’acquisition est signé le 25 mars 2004 dans l’enceinte du dépôt de Villeneuve-Saint-Georges, en présence du président de la SNCF, d’Alstom et de Siemens, pour l’acquisition de 500 locomotives dont 400 en commande ferme. Pour l’occasion, la BB 437002 a été maquillée en BB 475001 par les ateliers de Alain-Pras. Le programme de livraison se déroule à un rythme de 3 à 4 locomotives par mois [3] soit un total de 44 machines par an jusqu’en 2015 voire 2017 selon la conjoncture. La BB 475007 est la première de la série à être livrée à la SNCF[4]. Elle est suivie en décembre 2006 par quatre nouveaux engins puis deux en janvier 2007 et enfin cinq en février. Le parc compte ainsi une trentaine de locomotives à la fin juin 2007. Toutes les BB 75000 neuves sont réceptionnées à l’EMT Haute-Picardie de Amiens-Longueau [5] où elles vont permettre de remplacer les BB 467400 du dépôt qui circulent entre le Nord de la France et la Belgique. De là elles seront réparties entre deux dépôts :
* Longueau : 150 – 200 machines (dont les interopérables)
* Avignon.

L’atelier directeur est celui d'Oullins qui suit déjà les BB 27000 et BB 37000 et Quatre-Mares assurera le suivi de la partie thermique de la locomotive. Elles sont en premier lieu utilisées sur des trajets de moins de 400 km combinant des parcours en thermique et sous caténaire mais pour simplifier les manipulations, elles seront de bout en bout exploitées en traction thermique sans permutation de locomotives. Dans le cas de tonnage supérieur à 1800t, les locomotives seront utilisées en UM. Leur premier secteur d’activité concerne le Nord de la France auquel s’ajoute l’Île-de-France à partir du 11 juin (Massy, Le Bourget, Vaires et Troyes). L’Est et le Sud-Est viendront plus tard ; quant à l’Ouest il sera pris en charge par les nouvelles BB 60000 et les BB 69000 (BB 66000 remotorisées). Le 28 mars 2007, une première UM composée des BB 75009 et 75006 tracte son premier train commercial entre Longueau et Caffiers (Carrière du Boulonnais). Huit lignes de roulement sont ainsi établies entre Amiens (ou Longueau) et Caffiers, Marquise, Tergnier, Creil-Petit-Thérain. Cette nouvelle locomotive de puissance moyenne contribuera ainsi à éliminer les BB 67300, CC 72000, et les UM de BB 66000 non transformées. Une déclinaison pour le trafic voyageur n’est pas impossible à l’instar des BB 27300 Transilien (dérivées des BB (4)27000) car elles bénéficient des équipements nécessaires. Conformément au marché initial, 33 locomotives seront interopérables avec l’Allemagne à partir de la 101e locomotive produite. Cette faculté sera facilitée par des caractéristiques aux normes européennes comme le gabarit, les émissions polluantes ou le comportement dynamique. Une trentaine de locomotives supplémentaires devrait aussi être adaptée pour les réseaux belge et hollandais pour l’été 2008. La tranche « 100 » dans la numérotation devrait ainsi être dédiée à ces versions interopérables.

mardi 3 juin 2008

Six Feet Under



C'est MON groupe préféré ...

Lancé en 1995, Six Feet Under est un groupe de Death Metal américain, initialement conçu comme un projet parallèle par Chris Barnes, chanteur guttural de Cannibal Corpse. Dans sa configuration initiale, Chris Barnes était accompagné de Allen West, guitariste de Obituary, Terry Butler, bassiste de Death, et Greg Gall à la batterie. Le départ de Chris Barnes de Cannibal Corpse la même année propulsa le groupe parmi les grands du Death Metal, devenant l’un des noms les plus respectés dans la musique extrême. Les riffs rapides, l’accordage très bas de la guitare et de la basse, et des paroles venant tout droit de films d’horreur, et traitant également du monde en général, ont contribué au succès de Six Feet Under. En 1998, le guitariste Steve Swanson remplaçe Allen West. Sa contribution marque un tournant significatif dans l’évolution du groupe. Et avec l’enregistrement de "Maximum Violence" en 1999, le monde entier les remarque. La tournée avec Danzig en 2000 dans le "Vans Warped Tour" (un honneur réservé habituellement à l’élite du Punk Rock) fit de « Maximum Violence » leur plus grand succès à ce jour. Sur “True Carnage” figure une belle apparition de Ice-T de Body Count sur “One Bullet Left”. Inclus également sur le disque la version non censurée de la vidéo « the day the dead walk » qui pourrait être un parfait mariage entre « Day of the dead » de George Romero et le Heavy Metal. Le "covert art" a été fait par le célèbre tatoueur Paul Booth, qui était l'un des acteurs majeurs du festival de tatouage "Tattoo the earth".

Discographie :