Fin d'un rêve hier soir sur la pelouse du Durban Stadium de ... Durban.
La Nationalmanschaft avait mis ses semelles de plomb, le Roja excellait dans l'art de la passe à 10 : que du bonheur ! Ils étaient comme pris dans les tentacules ibères. Tiens, tiens, déjà (un indice ?)
On sentait les prolongations, les tirs au but, la fatigue quand Pujol (à ne pas prononcer comme le compagnon de Terasson ...) sur un corner envoie la sphère dans les filets germaniques. Nous sommes à la 73e minute : rien à redire. S'en suit un match où les Teutons poussent et poussent, encore, en vain.
La finale sera donc hispano batave, une pragmatique sanction ?
Et pourtant, et pourtant, nous aurions du le savoir. Il suffisait de demander à Paul. Non pas Paul Ricard mais Paul le poulpe : ce n'est pas une blague. Il avait prévu la victoire espagnole.
Alors, comment ça marche ?
On plonge deux bacs emplis de nourriture dans un aquarium avec un drapeau sur chacun d'entre - eux correspondant à une équipe. Si le poulpe mange dans le bac, l'équipe sera gagnante.
La vérité en images :
Face à l'Angleterre :
Face aux Argentins :
Et enfin face à l'équipe d'Espagne :
Question finale : le poulpe aime - t - il les oranges ou la paëlla ?
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